Compte tenu de l’article R.322-2 qui figure sur le Code de la route, affirme que le numéro d’immatriculation qui figure sur le certificat d’immatriculation doit être fourni par le système d’information cent enregistré. Pourtant, il n’est pas rare qu’il de trouver des anciens véhicules qui n’ont pas encore été par le SIV.
Cependant, le véhicule devra être soumis à une première immatriculation. S’il s’agit d’une voiture d’un d’occasion, son ancien numéro d’immatriculation lui sera attribué via le SIV. De plus, toutes les informations importantes issues du contrôle technique y figureront. C’est-à-dire qu’après l’examen du véhicule, on peut connaître son genre, son poids et même la date de sa première immatriculation.
Mais à noter que l’opération ne peut être effectuée que par un centre d’expertise et de ressources titres. De ce fait, l’intéressé devra faire une demande via téléprocédure complémentaire ou TPC. Ensuite, il devra refaire une autre demande adressée à l’agence nationale des titres sécurisés ou ANTS via leur site.
D’après le III de l’article 10 qui s’arrête le 9 février 2009 en rapport avec les modalités d’immatriculation des véhicules, toutes déclarations d’achat doivent être effectuées par des professionnels acquéreurs.
De ce fait, les conventions d’habilitation préfectorale définissent un professionnel du commerce de l’automobile comme étant une entité juridique. Ce dernier aurait donc comme principales activités l’achat et la vente de voiture neuve ou d’occasion.
En revanche, si une association possède le statut de concessionnaire, ce dernier peut effectuer des achats et la vente des véhicules d’occasions customisés. Par contre, dans le cas contraire l’association doit effectuer une demande d’autorisation auprès du SIV où du ministre de l’Intérieur. Il est aussi possible pour l’association d’effectuer la demande par l’intermédiaire d’un professionnel de l’automobile.
En suivant l’article L.640-1 qui figure dans le code du commerce affirme qu’une procédure de liquidation est possible à toute entreprise débitrice. Cela est soutenu par l’article L. 640-2, qui affirme qu’en cas d’arrêt de paiement et de redressement une procédure de liquidation peut avoir lieu, ce qui oblige l’entreprise à arrêter son activité et mettre en vente ses biens et actions.
Par contre, selon l’article L 641-10 qui figure sur le code de commerce, l’entreprise peut garder son activité si les créanciers l’exigent. Mais cette procédure ne peut être autorisée que par le tribunal et fixée par un décret du Conseil d’État. Mais la décision peut être prolongée si l’entreprise effectue une demande auprès du ministère public.
De ce fait, même étant professionnel dans le domaine de l’automobile si ce dernier se confronte à une liquidation judiciaire il se doit de cesser son activité sauf par autorisation fournie par le tribunal.
D’après l’article 9 tout ressortissant algérien souhaitant séjourner en France pour moins de trois sont tenus de présenter un passeport qui est en cours de validité ainsi que d’un visa qui a été délivré par les autorités françaises. Cette loi avait été prévue lors de l’accord franco-algérien qui s’est tenu le 27 décembre 1968. En revanche, si ces derniers souhaitent rester plus de trois mois, il devra se munir d’un passeport en cours de validité ainsi que d’un visa de long séjour ayant été délivré par les autorités françaises aussi.
Il est important de savoir qu’un ressortissant algérien qui possède une entreprise et qui ne possède qu’un visa pour un court séjour n’a pas le droit de souscrire à un registre de commerce. C’est-à-dire que s’il souhaite bénéficier de cette inscription, il devra se munir d’un visa supérieur à 90 jours. Dans le cas où il ne peut pas le fournir, il ne peut pas continuer d’exercer son activité professionnelle sur le territoire. En d’autres termes, il ne peut pas soumettre des DA au SIV.
À savoir que la déclaration d’achat est une branche liée au droit commun. Selon l’article 11 qui s’est arrêté le 9 février 2009 que n’importe quel véhicule doit être immatriculé au nom du propriétaire.
Cette loi est régie des modalités d’immatriculation des véhicules. Pourtant, cela ne s’applique pas dans certains cas comme lorsque c’est un concessionnaire qui acquiert le véhicule pour son activité de négoce où lorsque c’est une entreprise d’assurance qui l’achète suite à l’indemnisation où encore lorsque le véhicule est en possession du centre véhicules hors d’usage ou VHU.
Pourtant, dans le cas où une voiture sous déclaration d’achat est mise en location, cette dernière n’est plus régie par le régime dérogatoire. De ce fait, le véhicule sera soumis aux articles suivants R. 322-1 et R. 322-5 issus du Code de la route. Selon ces articles, la personne qui possède le véhicule sera reconnue comme propriétaire et non simple acquéreur, de ce fait il lui est obligatoire de soumettre son véhicule à un certificat d’immatriculation avant de pouvoir la faire louer. Mais attention, il est important que les papiers soient au strictement au nom du propriétaire.
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